Leyton & Associés

Une approche scientifique et financière du Crédit Impôt Recherche.

Préambule

De manière générale, au-delà de l’identification des projets éligibles, leur valorisation et la sécurisation des descriptifs techniques, notre vocation est d’être constamment force de proposition grâce à une analyse complète de votre chaîne de valeur.

Les principales phases de cette analyse sont les suivantes :
Définition de votre environnement technologique (les principaux concepts, les défis techniques à relever, le benchmark des différents acteurs…).
Etablissement de la Road Map R&D (les moyens humains et matériels à disposition, les missions effectuées, l’insertion de la R&D au sein de l’activité de l’entreprise et les interactions avec les différentes fonctions telles que le marketing, la production, la direction générale…).
Proposition de partenariats technologiques (public ou privé) conciliant à la fois l’excellence scientifique, la compétitivité économique et la valorisation fiscale future par la prise en compte de ces charges en dépenses de sous-traitance éligibles.
Capitalisation des connaissances et des savoir-faire par la création et/ou l’optimisation d’outils tels que le suivi et la formalisation de la veille technologique, l’information stratégique, les points d’avancement des projets dans une optique orientée CIR.

Cette analyse est indispensable pour caractériser l’innovation dans l’entreprise qui peut être initiée par des fonctions autres que les seuls départements R&D.

« identifier avec précision tous les projets innovants, ouvrant droit aux récentes mesures d’aide à l’innovation ».

En s’appliquant à promouvoir et à renforcer la performance de l’innovation, les pays gagnent en compétitivité, attirent davantage les investisseurs et se donnent plus d’atouts pour relever les défis économiques, sociaux et environnementaux issus de la mondialisation.

L’édition 2006 du R&D Scoreboard constate que 82% des 1250 entreprises qui investissent le plus en R&D sont issues des cinq pays de l’OCDE : les Etats-Unis, le Japon, l’Allemagne, la France et le Royaume-Uni.

L’objectif de la stratégie de Lisbonne est de faire de l’Union européenne « l’économie de la connaissance la plus compétitive et la plus dynamique du monde en 2010 » en atteignant 3 % du PIB. La réalisation de cet objectif ambitieux exige un recentrage sur les priorités de la recherche, de l’excellence universitaire et de la coopération industrielle et technologique.

Dans cette perspective, le gouvernement français a établi un programme national de réforme au sein duquel sont identifiés les différents instruments incitant les entreprises à augmenter leurs dépenses de recherche et développement.